CONTEXTE :
Après 40 années où la mortalité routière s’est vue divisée par 5 alors que le trafic routier a triplé, les résultats par km parcouru stagnent depuis 2013.
Dans les pays émergents où le trafic croit sans infrastructure et mentalités adaptées, les prédictions de l’OMS sont dramatiques…
Une menace pour le bien-être sur terre mais aussi pour l’économe mondiale :
Les progrès obtenus sur les véhicules sont considérables, mais ils ne sont pas toujours étendus aux marchés en voie de développement, où la réglementation est en retrait.
Une fois généralisés, ils seront insuffisants si rien n’est fait sur l’infrastructure et sur la sensibilisation des usagers de la route.
Pour limiter les conséquences désastreuses de l’insécurité routière dans les pays émergents, l’ONU, la FIA et l’OCDE ont fait de la sécurité routière une priorité mondiale.
Nos actions associées :
Standardisation de l’accidentologie selon projet mondial iGLAD, participation au groupement IRTAD sur l’accidentologie mondiale, construction de base de données détaillées comme VOIESUR, évolution de la méthodologie de collecte, proposition de projet HubSURF avec vision prospective, élaboration des futurs scénarios à risque, simulation d’accidents et études statistiques d’évaluation d’efficacité, nouveau référentiel pour coter les lésions sans se limiter aux risques de décès, recherche d’un partenaire compétent en prévisions économiques…
Notre ambition :
Il faudra que l’accidentologie soit mesurée de façon cohérente partout dans le monde, et que les enjeux ne soient pas valorisés uniquement en vies humaines, mais aussi en séquelles durables non mortelles, handicaps à prendre en charge par la Société, qui ont aussi des impacts sur le développement économique.